Paul Wehage : L'Arbre de Vie for mixed sextet by Paul Wehage Small Ensemble - Digital Sheet Music

SKU: A0.1603200

Séraphine Louis (often called « de Senlis ») (Arsy, 1864 – Clermont, 1942) painted the work now known as The Tree of Life in 1928. The title was given by Wilhelm Uhde, the gallerist who discovered her work and championed many painters of the « New Primitive » movement. The title is a biblical reference, drawn from both Genesis and the beginning of the Apocalypse.

On a background of green, blue, and beige, the tree rises upwards, covering almost the entire canvas. Its leaves are covered with elongated strokes of color that resemble feathers. No one knows exactly how Séraphine created her distinctive color palette, which mimics the techniques of oil painting while using cheaper materials she was able to find in her native Picardy.

In this work, independent melodic lines in the winds float above ascending scale motifs in the strings and guitar. The shifting harmonic texture, inspired by the concept of mugham music in Persian culture, leads to contrasting episodes, eventually returning to the ascending motif, which ends enigmatically.

Séraphine Louis (souvent appelée « de Senlis ») (Arsy, 1864 – Clermont, 1942) a peint l’œuvre aujourd’hui connue sous le nom de L’Arbre de Vie en 1928. Le titre fut donné par Wilhelm Uhde, le galeriste qui découvrit son travail et qui fit également connaître de nombreux peintres du mouvement des « Nouveaux Primitifs ». Ce titre est une référence biblique, tirée à la fois de la Genèse et du début de l’Apocalypse.

Sur un fond vert, bleu et beige, l’arbre s’élève, occupant presque toute la toile. Ses feuilles sont couvertes de touches allongées de couleur qui évoquent des plumes. Nul ne sait exactement comment Séraphine créa sa palette de couleurs si particulière, qui imite les techniques de la peinture à l’huile tout en utilisant des matériaux bon marché qu’elle parvenait à trouver dans sa Picardie natale.

Dans cette œuvre, les lignes mélodiques indépendantes des vents flottent au-dessus des motifs ascendants des cordes et de la guitare. La texture harmonique en perpétuelle évolution, inspirée du concept de la musique mugham dans la culture persane, mène à des épisodes contrastés, avant de revenir au motif ascendant, qui s’achève de manière énigmatique.